Pièce fondatrice d’Emmanuelle Huynh, "Múa" est à vivre comme une expérience où obscurité-lumière, apparition-disparition, silence-musique, danse et immobilité sont les interfaces d’une seule et même chose : l’avènement à soi-même et au monde.
Dates :mercredi 26 mars 2025, 19h00 Jusqu'au mercredi 26 mars 2025
Danse
rêve et ivresse
Élise Lerat s’est plongée dans les textes pour imaginer une matière forte et fluide. Sur une musique créée en live, les cinq interprètes foulent un sol recouvert de lichens et de lauriers comme iels retournent ce terreau sensible et philosophique.
Pièce fondatrice d’Emmanuelle Huynh, "Múa" est à vivre comme une expérience où obscurité-lumière, apparition-disparition, silence-musique, danse et immobilité sont les interfaces d’une seule et même chose : l’avènement à soi-même et au monde.
Maurice Ravel ● 1er mouvement de la Sonatine (arrangé par Salzedo pour flûte, harpe et violoncelle)
Claude Debussy ● Trio pour flûte, alto et harpe
Luciano Berio ● Folksongs ● Avec les musiciens de l'ONPL
Aurélien Dougé, danseur, performeur et plasticien, interroge notre perception de l’espace et du temps. Avec ce solo, il nous convie dans un monde liminal où les frontières entre visible et invisible, jour et nuit, intérieur et extérieur, s’effacent.
Mette Ingvartsen et Manon Santkin, une de ses fidèles interprètes, revisitent la matière d’anciens spectacles. Ce solo canalise le foisonnement de vingt ans de travail en une seule nuit sauvage, dans une économie de moyens remarquable.
Le flamenco, c’est d’abord le cante jondo, un chant profond, rugueux, qui demande des voix terriennes, rauques, et se conjugue aussi au masculin avec ici David Lagos et Tomás de Perrate.