Cédric Cherdel a imaginé un triptyque chorégraphique sur notre rapport à l’environnement. En son sein, la pièce "Safari", fruit de son voyage initiatique aux frontières du réel et de l’invisible, du spirituel et du tellurique, du sacré et du profane.
Mathilde Monnier livre avec "Black Lights" un opus rageur et engagé. Avec finesse et rigueur, la danse devient combat puis chœur collectif à travers la force d'une communauté de femmes qui transforme la violence en un rituel moderne et joyeux.
Dans un duo de flamenco époustouflant, Hillel Kogan et Mijal Natan repensent l’absurdité des frontières géographiques, chorégraphiques et identitaires. Entre prises de paroles humoristiques et politiques, le chorégraphe chante, danse, séduit, parle et s’énerve.
Capucine Lucas nous ouvre les pages d’un conte fantastique qui revisite, avec fougue et vitalité, la figure de la sorcière, symbole d’émancipation et de résistance. Pièce chorégraphique aux émotions multiples, Ronces est un hommage à ces héroïnes incontournables.
Capucine Lucas nous ouvre les pages d’un conte fantastique qui revisite, avec fougue et vitalité, la figure de la sorcière, symbole d’émancipation et de résistance. Pièce chorégraphique aux émotions multiples, Ronces est un hommage à ces héroïnes incontournables.
Capucine Lucas nous ouvre les pages d’un conte fantastique qui revisite, avec fougue et vitalité, la figure de la sorcière, symbole d’émancipation et de résistance. Pièce chorégraphique aux émotions multiples, Ronces est un hommage à ces héroïnes incontournables.
Capucine Lucas nous ouvre les pages d’un conte fantastique qui revisite, avec fougue et vitalité, la figure de la sorcière, symbole d’émancipation et de résistance. Pièce chorégraphique aux émotions multiples, Ronces est un hommage à ces héroïnes incontournables.
Capucine Lucas nous ouvre les pages d’un conte fantastique qui revisite, avec fougue et vitalité, la figure de la sorcière, symbole d’émancipation et de résistance. Pièce chorégraphique aux émotions multiples, Ronces est un hommage à ces héroïnes incontournables.
Ikue Nakagawa présente son troisième solo, "KUROKO", nourri de son carnet de dessins intimes. Elle y poursuit son introspection spectaculaire en invitant ses kuroko, personnages typiques du théâtre kabuki qui œuvrent dans l’ombre.
Allongé.es et plongé.es dans un bain sonore apaisant, enfants et adultes sont invité.es à prêter attention à leurs sensations intérieures et extérieures. Des casques diffusent une collection d’histoires de corps pendant que deux danseurs-masseurs les accompagnent avec douceur. Un moment de lâcher-prise loin de l’agitation quotidienne.
