ater... quelle angoisse ! Quand on est un parent, il faut être un top parent. Quand on est enfant, il faut être un top enfant. Pourtant, rien ne se passe jamais comme on l’avait imaginé́.
Dans Esquif (à fleur d’eau), c’est la mer Méditerranée qui s’adresse à nous, nous contant les histoires de ces candidats à l’exil prêts à prendre tous les risques pour accéder à un monde meilleur. Un délicat spectacle rempli d’humanité.
Texte et mise en scène Anaïs Allais Benbouali.
L’écrivaine Emmanuelle Bayamack-Tam écrit sa première pièce, Le Triomphe, en 2005. Son roman Arcadie, prix du Livre Inter 2019, est adapté ici sous la forme d’un monologue jubilatoire, étranger à toutes les normes, rebelle à toutes les injonctions.
Mise en scène Sylvain Maurice.
Compagnie [Titre Provisoire] • Emmanuelle Bayamack-Tam
Farah, bientôt 15 ans, habite un domaine coupé du monde. Dans cette communauté quelque peu déjantée, l’adolescente, en proie aux troubles naissants du désir, va voir son corps se transformer de manière étrange.
Performance dans tous les sens du terme, où la création sonore tient une place essentielle, la nouvelle pièce de Laurène Marx, seule en scène, creuse le sillon d’un théâtre cru et viscéral, politiquement et émotionnellement radical : un coeur mis à nu.
L’écrivain Tanguy Viel a écrit pour Pierre Maillet, fondateur des Lucioles avec Marcial Di Fonzo Bo et Élise Vigier, un roman d’apprentissage sous forme de monologue de théâtre. L’histoire d’un enfant qui aimait le cinéma au point de devenir comédien, et de confondre ses souvenirs avec les films qui l’ont fait grandir.
Dans Esquif (à fleur d’eau), c’est la mer Méditerranée qui s’adresse à nous, nous contant les histoires de ces candidats à l’exil prêts à prendre tous les risques pour accéder à un monde meilleur. Un délicat spectacle rempli d’humanité.
Texte et mise en scène Anaïs Allais Benbouali.
Performance dans tous les sens du terme, où la création sonore tient une place essentielle, la nouvelle pièce de Laurène Marx, seule en scène, creuse le sillon d’un théâtre cru et viscéral, politiquement et émotionnellement radical : un coeur mis à nu.
Sur un objet massif et mouvant s’apparentant à une toupie géante, se joue la rencontre de deux protagonistes en apesanteur. Leurs tentatives de prise de contact nous emportent avec humour et virtuosité dans l’incongruité d’un récit de corps d’une étonnante douceur.
Le monde est hostile, Tanguy Pastureau le sait, et il tente de se blinder face au déferlement de haine. Seulement, c’est un homme sensible, au coeur de beurre demi-sel. Et si finalement, cette fragilité le plaçait d’office dans la bonne équipe ?Celle des gens qui doutent.
