UNE ENVIE DE FRAISE
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Jusqu'au samedi 26 avril 2025
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Compagnie La Turbulente - Dennis Kelly
déambulation en extérieur
Un groupe d'adolescents partis en forêt s'acharnent à torturer Adam, un de leurs camarades, et le laisse mort au fond d'un puits. Maintenant il faut sauver sa peau, couvrir le crime et faire face à la culpabilité. Ils s'enfoncent alors dans la spirale du mensonge.
J-F. Auguste et J-C. Pouliquen se connaissent depuis près de vingt ans. La pièce dresse un portrait croisé de cette relation faite de malice, de camaraderie, d’expériences et transmissions réciproques.
adapté en LSF par Yoann Rober
L’autrice Laëtitia Ajanohun a écrit un dialogue facétieux à partir de l’amitié qui unit ses deux modèles, et en tire une ode à la transmission réciproque, témoignant joyeusement et positivement de l’inclusivité des personnes en situation de handicap. Mise en scène Jean-François Auguste.
Après Portrait de Raoul l’écrivain Philippe Minyana nous délivre la suite du diptyque consacré à l’incomparable comédien Raoul Fernandez, source d’inspiration. Aujourd’hui Raoulita s’apprête à faire un nouveau voyage tout aussi magique que ceux qui ont jalonné sa vie d’artiste : rejoindre sa maman Betty, au ciel.
Olivier Cadiot et Ludovic Lagarde, c’est trente ans de théâtre. Laurent Poitrenaux, acteur fétiche de cette subtile alchimie et créateur de la pièce en 1997, passe aujourd’hui le relais à Guillaume Costanza. Maître-mot de ce travail : la transmission.
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Compagnie La Turbulente - Dennis Kelly
déambulation en extérieur
Un groupe d'adolescents partis en forêt s'acharnent à torturer Adam, un de leurs camarades, et le laisse mort au fond d'un puits. Maintenant il faut sauver sa peau, couvrir le crime et faire face à la culpabilité. Ils s'enfoncent alors dans la spirale du mensonge.
À la rencontre du théâtre et de la danse, cette nouvelle création pour quatre interprètes est une invitation décalée, parfois absurde à plonger dans ce jeu déroutant. Une création pour aborder les petits et grands ratés parentaux.
Dans le plus simple appareil, le comédien Pierre Maillet livre une performance unique en son genre. Avec les mots de Patricia Allio, il renverse les habitus pour faire l’éloge d’un nomadisme de l’identité et en finir avec les assignations de tout poil.