Fricot : mets grossièrement cuisinés ! La définition fait sourire et donne envie de vérifier tout ça. Dans ce restaurant aux murs clairs, tout en longueur, une dizaine de tables. La carte est resserrée autour de produits majoritairement bio. Il s’agit bien d’une cuisine gourmande. Les plats sont copieux, simples mais avec des goûts francs. On commence le déjeuner en trempant des beignets de crevettes dans une sauce aïoli qui réveille les papilles. On poursuit avec des côtelettes d’agneau. Elles sont fondantes, accompagnées de légumes de saison rôtis qui apportent de la rondeur au plat. Le jus d’olives est excellent. Notez qu’il y a des propositions végétariennes. Pour finir, une mousse au chocolat 70% : elle est renversante comme chez maman !

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C’est une interprétation modernisée des fameux bouillons parisiens qui ont fait la réputation de la cuisine française bon marché. On y retrouve des plats simples, travaillés par les chefs. Une terrasse à l’arrière ouvre aux beaux jours. Un restaurant complet au déjeuner pour une ambiance conviviale. Maquereau mariné, légumes croquants, chou. Asperges blanches, copeaux de speck, crème au sésame. Échine de cochon confite, purée de patate douce, légumes et jus. Les plats sont généreux et les saveurs affirmées. On se régale. Tartelette au citron pour finir. La note de fin de repas est douce. On reviendra un soir pour goûter une autre sélection. La carte des vins est à dominante ligérienne, avec un fort penchant pour les vignerons qui cultivent leurs vignes en agriculture biologique et/ou biodynamique.

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Gustave et Claude étaient deux amis qui tenaient une boucherie. Alex et Hugo, leurs petits-fils respectifs, dirigent aujourd’hui le restaurant-bar à vin-épicerie Gustave & Claude. À deux, on commande cinq assiettes. Tout d’abord l’Ajoblanco, une soupe froide d’Andalousie à base d’amandes servie avec des raisins surmontés d’une huile pimentée. On aime le contraste entre la soupe plutôt douce au palet, et qui tranche avec le fruit, lui, bien relevé. Un coup de cœur pour l’artichaut à l’aji verde, une sauce péruvienne à base de piment, accompagné de nduja, saucisse de porc épicée italienne parsemée de framboises. On adore la rencontre entre l’acidité de l’artichaut, la force de la saucisse de porc et la douceur des baies. Le restaurant séduit par les associations de goûts.

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Envie d’essayer le rassurant Cheeky Cheese : tartiflette, croustillant de reblochon, bacon, confit d’oignon, gelée de groseille, salade craquante. La simplicité de la recette mêle des ingrédients que l’on connaît. L’assemblage est une réussite et le goût bien présent. Cap sur le Smash Welsh : du bœuf irlandais smashé, confit d’oignon, cornichons, cheddar fondu à la bière, sauce moutarde. La cuisson du steak haché, aplati à la spatule, est parfaite. Avec une jolie croûte à l’extérieur et du jus à l’intérieur. Des frites croustillantes comme on les aime. Mais, comme le printemps est arrivé, j’alterne avec une portion de coleslaw (des crudités : carotte et choux blanc, sauce crémeuse). C’est frais et texturé. Ça va aussi très bien avec le burger.

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Les visuels des burgers attirent. Différentes couches d’ingrédients colorées, presque des œuvres d’art ! Ces images régalent les yeux et font saliver. Alors, Tour de Pise : 2 steaks de bœuf Angus, double cheddar, roquette et salade, bacon, avocat, oignon rouge, tomate, sauce barbecue. La viande rouge, grasse à souhait, persillée est incroyable. Burger Chute du Niagara : bœuf Angus, roquettes, champignons persillés, oignons frits, sauce poivre, sans oublier le cheddar à la fourme d’Ambert ! Rassurez-vous, on était deux ! On soulève un cercle métallique pour que le fromage fondu se déverse. Assurément les plus jolis burgers. On a dans l’assiette les superpositions qui laissent la possibilité de bien séparer les goûts. Ici, le burger est sophistiqué !

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Aux bornes, je commande un Chicken Yummus. Du poulet pané, avec houmous, oignons rouges frais, mélange de choux et carottes, salade, sauce blanche aux herbes. J’aime le pain légèrement brioché. Je poursuis avec Les Poulettes, des bouchées de volaille panées croustillantes, accompagnées de sauces à choisir en fonction de ses goûts. La tendreté de la viande et le croustillant du pané font un malheur. Comme le nom l’indique, ici tout est bio ! J’ai goûté la délicieuse limonade maison et je la conseille. Il y a une aire de jeux pour les enfants dans le restaurant. Aux beaux jours, on profite de la terrasse sur le boulevard mais surtout de la cour ombragée à l’arrière.

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Des produits locaux en circuit court et une carte resserrée autour de burgers gastronomiques. Incroyable Pulled Pork. Épaule de cochon confite 13 heures, coleslaw, chou rouge, carotte, mayonnaise balsamique, sauce barbecue maison, pois chiches grillés, coriandre fraîche ! La viande effilochée caramélisée fond dans la bouche et la recette réconcilie avec le chou rouge. L’Octopus révélation : du poulpe au beurre persillé et chorizo, pimientos de padrón, tomates confites, huile à l’ail, roquette. Le poulpe dans un burger, c’est une première alors on tente évidemment. La cuisson est parfaite, la chair tendre et goûteuse. Et l’association chorizo poulpe, une bénédiction ! Pour les végétariens, il y a la possibilité d’une galette végé maison, composée de riz, lentilles, betteraves, oignons, paprika et épices.

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Belle surprise ! Cet établissement lumineux – fondé en 1968 – nous accueille sous une superbe verrière colorée. On déjeune dans une des nombreuses alcôves, en toute intimité. La place ne manque pas, on peut venir en groupe ! La galette est croustillante sur les bords, plus tendre au centre. La Seguin, galette de sarrasin chèvre, miel, noix et salade ouvre l’appétit ! On continue avec notre propre création 4 ingrédients : coulis de tomates, chorizo, œuf, fromage. On partage une végétarienne : compotée d’oignon, purée de tomates, emmental. On termine avec une crêpe au froment crème de marron (supplément chantilly puisque le bonheur est dans l’excès !) On a goûté la Telenn Du, une bière de blé noir bio, qui nous rappelle un peu la Guinness. À la demande, le service peut être réalisé rapidement. 

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Brasserie à l’ambiance tamisée et chaleureuse, qui met en valeur des matières nobles aussi bien dans sa décoration que dans votre assiette.
Pour les carpaccios évidemment.
© Joe Carpa

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Le café-restaurant du Musée des beaux-arts d'Angers. La convivialité toujours !

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